Polluants de l’air intérieur

environnement intérieur couple trinque.jpgLa pollution intérieure, au sein même de nos lieux de vie, est insidieuse. Mais une fois identifiée, elle est aisément maîtrisable.

 

 

La pollution de l’air extérieur, tout le monde connaît. Il suffit de se promener cinq minutes dans une ville à grande circulation pour la sentir flatter nos narines… La pollution intérieure fait moins souvent parler d’elle. On aurait pourtant tort de ne pas s’y intéresser. Ne fût-ce que parce que nous passons en général entre 80 et 90 % de notre vie à l’intérieur, qu’il s’agisse de notre lieu de vie ou de notre lieu de travail, voire des moyens de transport que nous empruntons.

 

Tantôt visibles, tantôt très discrètes, les pollutions liées à la présence de champignons sont parmi les plus courantes dans notre habitat.

 

Pas facile de se débarrasser des acariens ! Mais indispensable, lorsque leurs excréments provoquent des allergies, particulièrement chez les enfants. 

 

Une famille très large de polluants chimiques s’insinue dans nos meubles, tapis, panneaux de bois, etc. Les spécialistes les appellent « composés organiques volatils ». 

 

Certaines formes de pollution intérieure sont très bien connues. Mieux vaut les identifier rapidement chez soi, car elles peuvent s’avérer franchement dangereuses. 

 

Facile et pas cher ! Pour se débarrasser des pollutions intérieures, la ventilation est le bon réflexe à adopter. 

 

Lutter contre les polluants intérieurs passe par des gestes simples. 

 

En Wallonie comme à Bruxelles, il est possible de se faire aider – chez soi – par des spécialistes de la pollution intérieure. 

 

Dans les habitations où l’on fume, il ne faut pas aller chercher très loin la principale source de pollution : les résidus de la combustion du tabac, évidemment. Elle libère à peu près 3.800 substances dans l’air ambiant!